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Les socialistes restent le premier groupe d’opposition au Sénat.

Sénatoriales : Le PS a remporté 30 sièges de sénateurs (35 sortants) lors du scrutin du 27 septembre. Soit une perte de dix sièges, mais des gains de cinq sièges nouveaux dans la Creuse, l’Hérault, la Haute-Garonne, le Vaucluse et la Haute-Vienne. « On observe une stabilité globale et une mise en conformité avec les bons résultats des dernières municipales », indique Laurence Rossignol, sénatrice de l’Oise. Les listes d’union PS-PCF-PRG comme avec EELV ont permis des victoires dans plusieurs départements, comme dans la Drôme et l’Ain. Les écologistes en profitent et gagnent un siège dans le Bas-Rhin, les Bouches-du-Rhône, le Rhône. De son côté, le PCF en gagne deux, en Dordogne et dans les Bouches-du-Rhône. A l’inverse, la désunion dans le Finistère, en Seine-Maritime et dans les Deux-Sèvres avec présence d’une liste écologiste a contribué à affaiblir la dynamique puis fait perdre des sièges de peu. Patrick Kanner, président du groupe socialiste au Sénat, regrette les divisions au sein du bloc de gauche et écologiste : « Le maintien en concurrence a été perdant pour tout le monde, c’est décevant et idiot. Nous avons un groupe moins important et cela m’attriste ». Les socialistes restent le premier groupe d’opposition au Sénat.

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