Aujourd’hui avait lieu notre événement, de la planète à l’assiette.
Ce fut une réussite et nous voulions remercier les intervenants, toutes celles et ceux qui sont venu.e.s – parfois de loin – pour participer aux discussions ainsi que les salarié.e.s et les bénévoles qui ont rendu cet événement possible.
En bref :
Urgence climatique, chute de la biodiversité, augmentation des inégalités et de la précarité : nous savons que nous devons changer en profondeur nos façons de produire et de consommer. Pour sauver la planète, qui est notre maison commune, mais aussi et surtout pour sauver l’humanité et la protéger contre ce qui la menace le plus : l’exploitation sans limites des ressources naturelles, la dérive productiviste basée sur la course aux prix bas et le moins-disant environnemental et social, la financiarisation de l’économie et le développement insupportable des inégalités. Pour sortir de cette impasse, nous devons penser autrement le monde, penser autrement l’humanité.
Nos 9 propositions :
Revoir et réécouter
C’est un sujet qui t’intéresse et tu n’as pas pu venir à Nantes ? Pas de soucis, les tables rondes étaient retransmises en direct sur Facebook et tu peux voir, revoir et partager les vidéos :
« Égalité des territoires : les pactes ruraux-urbains » avec Geneviève Barat, Vice-présidente du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, Patrick Caron, chercheur au CIRAD, Vincent Dulong, directeur du réseau CIVAM, et animé par Karine Gloanec-Maurin.
« Nos territoires et l’Europe face à l’urgence climatique » avec Aziliz Gouez, chercheuse à l’institut Jacques Delors, Amandine Lebreton, fondation pour la nature et l’homme, Mathieu Courgeau, confédération paysanne, et animé par Christophe Clergeau, secrétaire national du PS à l’Europe.
« Les sols : enjeux majeurs de notre sécurité alimentaire » avec Cédric Letourneur, mouvement rural de jeunesse chrétienne, Dramane Chabi Akpo, sécrétaire de synergie paysanne (Bénin), François Collart-Dutilleul, professeur émérite de droit, et animé par Karine Daniel.
La conclusion par Olivier Faure :
Comments